-Prénom: Nashiro
-Nom: Daotsuke
-Âge: 16 ans
-Sexe: masculin
-Nindo: Observer, humer, Survivre dasnle sang tels des animeaux.
-Aime: L'eau, le bon tabac, l'alcool, la lecture et les choses de la vie...
-N'aime pas: Le feu, les beaux parleurs, les imbéciles et les végétariens (HRP: va savoir...)
-Qualités :Amical, serviable, obsessionnel, téméraire.
-Défauts :Obsessionnel, méfiant, sans scrupules.
-Son but: Survivre, devenir fort, rester soi-même
-Caractère :
La plupart du temps souriant, il lit et est calme mais as parfois des sauts d'humeurs assez refroidissant. Il n'a pas son pareil pour partir d'une discussion ou y entrer sur un coup de tête, bien qu'assez indépendant et un peu paranoïaque (circonstances obligent), il à un bon fond
-Histoire:
Aux membres du conseil du village de kiri.
De, Daotsuke Nashiro.
Bonjour à vous, j'ai 16 ans, oui je sais que c'est un peu vieux pour entrer à l'académie de votre village, mais ce ne les as pas enpeché de me tuer.
Je m'appel Nashiro, mes cheveux sont brun comme l'écorce des arbres au printemps, c'est du haut de mon mètre 82 et de mes 70 kg. que j'ai essayé de me défendre...
Suis-je fort?
Après ma défaite, je ne suis plus sur de rien.
Mon esprit?
Je ne sais pas si ce chaos qui règne en moi, qui me fais osciller entre la gentillesse et l'insensibilité ou encore de la logique à la folie, peut meriter cette appelation...
Je ne suis pas un de ces être vivant pour la vengence, ce sont eux d'ailleur qui m'ont détruit, moi, je suis un assoiffé de vie, ça je l'ai compris, vivre et ma seul obssession te pour cela je suis prêt à tout pour devenir fort, même si pour cela je dois en perdre ma raison...
Encore une chose, si j'écris mon histoire ce n'est pas par pur plaisir mais parce que la femme qui me sauva me demanda de le faire,
pour que je pour que je puisse venir dans votre village l'esprit libre.
Voilà, ma enfance ne fut pas marqué par d'évenements vraiment traumatisant, j'avais un père et une mère (séparé cert mais cela ne m'a pas gené).
La seul ombre au tableau ce sont mes yeux...
Malheureusement je suis née avec les yeux verts et jaune, le mélange donne un effet marécageux mais assez drôle, j'aurai dû me mefier...
Une ancienne prophétie avait été émise dans mon petit village il y a 200 ans, un prêtre vue en rêve un homme au yeux vert, puis jaune, se transformant en démon la nuit, pour détruire le village puis toutes vie l'entourant.
Evidamment la relations entre la prophétie et moi fut faites, je n'en fut pas laisé, les villageois ayant un esprit ouvert ne firent pas attention à moi ni aux anciennes visions du prêtre. C'est à 14 ans que tout commença, Syrashi un enfant du village qui puait l'envie de bien se faire voir pas ses amis décida d'éradiquer la "menace" que j'étais, pendant qu'il me frappait quelques chose s'éveilla en moi que j'avais déjà sentit mais pas aussi intensément, à la fin de cette lutte, j'avais tellement frappé ce gamins que ma peau en étais écorché. Peut-après mon père m'envoiya de force dans un camps d'entrainement de l'armée du maître de la régions, aujourd'hui encore j'aime a croire qu'il fit cela pour me protèger du village et non pour se débarrasser de moi.
Mon entrée dans ce camps fut pour moi une revelation, une vie d'horreur et de sublimation. Ici la vie n'avait que pour règle la force et la puissance, nous, les nouveaux, nous devinmes rapidement les souffres-douleurs des sensei eux même faibles dans leurs niveau. C''est à cette époque que je compris le mot "solitude", m0on père ne vint plus me rendre visite, seul moment de réconfort, n'étant pas très fort je me fit souvent frapper mais je sentait que chaques coup me rendais plus fort en nourissant cette chose en moi.
A mes 15 ans ma sentence fut prononcé...
Nous étions en route pour une bataille, je m'en souvien car j'étais dans l'unté d'Akuma (un ami de circonstance), il mourrut en guerrier et moi je survécu, en rentrant nous croisames une autre unité de même niveau que nous dans laquelle le frère d'Akuma, Ido, était. Il me prit à part avec d'autres, ce fut à ce moment que je reconnu (trop tard) Syrashi, et vue la haine qui émanait d'eux je compris qu'ils avaient pris une déscision.
"Tu n'aurai pas du survivre, c'ets mon frère qui aurait dû revenir vivant!"
Voilà quelle furent les mots d'Ido, appuyé pas les encouragement de Syrashi, je fut tabassé, au moment où je cru mourir et que tout devint noir j'entendis une voie...
"Suis-je mort?"
"Non, tu es là dans ton propre esprit, mais tu ne vas pas tarder à partir... A moins que tu veuille vivre?"
Entendant la possibilité de vivr, je m'accrocha à cette iddée
"Oui je veux vivre! Mais qui?"
Je suis la haine de ton bourreau, la lame de celui qui t'attaque, la rage de celui qui te frappe. Je suis la plus magnifique des créations, je t'appartiens autant que tu es à moi, je suis la survie..."
Comme si cela avait été une formul magique je m'apaisa, en me reveillant je me retrouva devant Ido et les autres à moitié mort.
Je pris peur et partis dans les bois tout proche. C'est là que je là rencontra...
Après trois jours de fuite et d'érrence j'entendit le son d'une flûte, mon esprit affamé ne fit qu'un tour, si quelqu'un jouait de la flûte alors il devait avoir à manger.
En arrivant ma surprise fut de taille, une femme magnifique me faisait face avec son instrument de musique, en levant la tête vers moi je sentie toute la force de son regard, je fut happé par son intensité et ce qui était tapis au fond de moi se mit à remuer, trop fort pour moi je tombis à terre et avant de m'évanouir je l'entendis dire en souriant:
"Je ne pensais pas que ma musique attirerait une bête sauvage..."
A mon reveille, je trouva de la nourriture près de moi, en me relevant, je la revis. Toujours aussi belle, au détail près qu'elle étais couverte de sang, elle me dit d'écrire cela aussi car elle voulait par ma personne vous faire savoir que vous ne ltuerez pas avec des émissaires de bas étage.
Elle me donna son nom, Niamo, et m'expliqua qu'elle refusa d'obéir à un ordre qui l'aurai obligé à sacrifier son équipe de recherche et s'enfuit de peur des représailles (celles qui gisaient devant moi.) et que depuis elle devait souvent se battre contre des chasseurs de têtes, en m'embrassant (et je ne m'explique pas ce geste) elle disparu à ces mots.
"Quand tu aura fini ton apprentissage, rejoins moi,"
Et moi voilà écrivant cette lettre pour vous, voilà vous savez tout, le temps que je parvienne chez vous cette lettre sera surment arrivé.
Alors, à bientôt j'espere.
Daotsuke Nashiro
Accueil 
Rechercher 
S'enregistrer 
Connexion 
